Les origines du chamanisme

Le chamanisme est l’un des grands systèmes imaginés par l’esprit humain, dans diverses régions du monde, pour donner sens aux événements et pour agir sur eux. De ce système, il convient tout d’abord de proposer une définition, quitte à la considérer comme un repère, un jalon ou un type idéal.
Le chamanisme implique une représentation particulière de la personne et du monde, il suppose une alliance spécifique entre les hommes et les « dieux », et il est contraint par une fonction, celle du chamane, qui est de prévenir tout déséquilibre et de répondre à toute infortune : l’expliquer, l’éviter ou la soulager. Le chamanisme est donc un ensemble d’idées justifiant un ensemble d’actes. On ne peut le comprendre si on ne retient pas l’usage qui en est fait et les contraintes qui en résultent.
Les grands principes qui lui sont associés peuvent être regroupés en trois classes :
1. Une conception bipolaire ou dualiste de la personne et du monde. – L’être humain est fait d’un corps et d’une ou plusieurs composantes invisibles, souvent qualifiées d’« âmes », qui peuvent quitter l’enveloppe corporelle et survivre à la mort . Le départ fugace, nocturne, de l’une de ces composantes justifie le rêve, son départ prolongé explique la maladie, son départ définitif signifie la mort. Les hommes, mais aussi tous les êtres de la nature, vivants ou inertes, peuvent posséder des âmes.
Le monde aussi est double ou, mieux, pris entre deux pôles, chacun étant un repère théorique agissant comme une sorte d’attracteur…

 

Etenim si attendere diligenter, existimare vere de omni hac causa volueritis, sic constituetis, iudices, nec descensurum quemquam ad hanc accusationem fuisse, cui, utrum vellet, liceret, nec, cum descendisset, quicquam habiturum spei fuisse, nisi alicuius intolerabili libidine et nimis acerbo odio niteretur. Sed ego Atratino, humanissimo atque optimo adulescenti meo necessario, ignosco, qui habet excusationem vel pietatis vel necessitatis vel aetatis. Si voluit accusare, pietati tribuo, si iussus est, necessitati, si speravit aliquid, pueritiae. Ceteris non modo nihil ignoscendum, sed etiam acriter est resistendum.

Et licet quocumque oculos flexeris feminas adfatim multas spectare cirratas, quibus, si nupsissent, per aetatem ter iam nixus poterat suppetere liberorum, ad usque taedium pedibus pavimenta tergentes iactari volucriter gyris, dum exprimunt innumera simulacra, quae finxere fabulae theatrales.

Et licet quocumque oculos flexeris feminas adfatim multas spectare cirratas, quibus, si nupsissent, per aetatem ter iam nixus poterat suppetere liberorum, ad usque taedium pedibus pavimenta tergentes iactari volucriter gyris, dum exprimunt innumera simulacra, quae finxere fabulae theatrales.

 

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